Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, LÉpouse Hypersexuelle (19) : Avec Marie, Domination Et Plaisir.
Ce qui venait de se passer entre Philippe, mon mari candauliste, et Rachid, mon mâle, marquait un tournant.
Non seulement Philippe avait (enfin) assumé sa bisexualité, mais ce fut pour lui une découverte. Il était devenu aussi accro que moi aux ébats avec Rachid. Il avait oublié la douleur de son dépucelage et, désormais, devenait insatiable. Certes, il aimait toujours me voir prise par Rachid, mais, quelque part, nous étions devenus « rivaux » pour savoir qui bénéficierait des saillies de notre mâle.
Nous étions depuis longtemps objet de scandale dans notre ville, mais la situation saggravait encore. Rachid navait aucune retenue, il voulait nous afficher et faire savoir quil était le mâle dOlga et Philippe T. Lorsque nous sortions en ville, il nous tenait chacun par la main, ou encore il avait une main sur mes fesses et lautre sur celles de Philippe. Rachid nhésitait pas, en pleine rue, à nous embrasser lun comme lautre à pleine bouche.
Comme il le disait à qui voulait lentendre, il avait désormais deux femelles. Au cinéma, au restaurant, cétait, en fonction de ses envies, lun ou lautre qui était chargé de lui vider les couilles. Toute la ville navait plus que mépris pour « le pédé et sa putain ». Notre réputation était définitivement ruinée.
Nous étions en rivalité pour savoir qui, de Philippe ou de moi, aurait le privilège de passer la nuit avec notre mâle. Rachid finit par établir dautorité un roulement. Celui ou celle qui ne passerait pas la nuit avec Rachid avait le droit dêtre honoré en premier, avant dassister passivement aux ébats du couple du soir, homosexuel ou hétérosexuel selon ce quavait décidé notre mâle.
Rachid se plaignait quelquefois que nous le prenions pour un étalon et lui faisions vivre un rythme infernal. «Pour me calmer » et se reposer, disait-il, il prit lhabitude de mamener chaque jour à sa cité, pour moffrir à ses potes. Jen parlerai dans un autre récit. Malgré ces nombreux ébats, qui faisaient de moi une «pute gratuite», javais toujours besoin dêtre prise par Rachid et notamment devant Philippe.
Nous étions ainsi rentrés dans une phase du candaulisme que les spécialistes appellent le cuckold, celle où le mari est avant tout cocu et humilié. Rachid le macho avait une tendance naturelle à cela, compte tenu de son mépris souverain pour un mari qui avait offert son épouse à un autre. Sy ajoutait la façon dont il percevait les homosexuels passifs. Si cela ne suffisait pas, Rachid subissait linfluence maléfique dune femme qui me détestait, le mot est faible, Maître Marie C. Cette sadique dominatrice avait désormais beaucoup dinfluence sur Rachid et lencourageait vers sa pente naturelle, celle du macho qui, en plus, avait le sentiment quà travers nous, il prenait sa revanche sur les bourgeois du quartier haut de la ville.
Peu de jours après le nouvel équilibre de notre trio, Rachid mintima lordre de préparer un diner raffiné en lhonneur de lui et de Marie. Sur le moment, je fus choquée et jalouse, mais je ne voulais pas perdre Rachid et mit à profit tous mes talents de cuisinière. De son côté Philippe veilla à préparer soigneusement les plus fins champagnes et les meilleurs crus.
Peu avant larrivée de Marie, Philippe et moi furent contraints de nous mettre nus, ne portant quun tablier de soubrette.
Marie arriva. Elle portait une jupe en cuir qui mettait en valeur ses longues jambes et un chemisier qui laissait bien voir ses seins opulents.
Elle ne nous prêta pas attention au départ. Elle voulait montrer son emprise sur Rachid, en lui offrant ses lèvres et lembrassant longuement. Elle se serrait contre lui.
Elle me vit, me fit signe dapprocher. Elle commença par me donner une violente gifle.
Je tai déjà dit de baisser les yeux en ma présence, petite putain !
Oui
Je men suis prise à ce moment-là une seconde, encore plus violente.
Oui, qui ?
Oui, Madame.
Cest mieux.
Elle me prit dans ses bras, moffrit ses lèvres, mais en profita pour mordre au sang ma lèvre. Elle pinça également brutalement mes tétons et ses doigts, avec ses longs ongles, fouillèrent mon intimité.
Malgré mes larmes, mon humiliation et la douleur quelle minfligeait, ma chatte était trempée. Philippe voulut intervenir, je lui fis signe que je ne le voulais pas.
Comme lautre jour, il se confirme que cette chienne aime le SM. Je me suis arrangé avec Jean et Christine, ils ont promis de mettre à disposition leur lieu de plaisir pour quelques séances bien hard avec Olga. Tu vas souffrir, ma belle, me dit-elle, en me labourant le dos de ses ongles.
Marie se montra nettement moins dure avec Philippe :
Alors maintenant tu connais linstrument qui donne tant de plaisir à cette chienne ? Rachid ma dit que tu as beaucoup aimé ça.
Oui, pour moi, ce fut une révélation. Jen avais envie depuis longtemps, je navais jamais osé.
Tu es un type très particulier. Tu sais, Philippe, cette petite putain ne te mérite pas.
Je laime et elle maime.
Tu crois ça. Tu as besoin dune vraie femme, comme moi. Crois-moi, je suis bien plus chaude quelle, mais elle cest une chienne soumise, moi je suis une femme forte, dominatrice. Je veux que tu sois à moi.
Marie, je suis flatté de ton intérêt, mais cest Olga que jaime. Elle ma apporté tout ce dont je rêvais.
Même Rachid ne comprenait pas lacharnement de Marie.
Dis-moi, pourquoi veux-tu à tout prix lui prendre Philippe ? Tu sais, il nest pas un amant très performant. Et pourquoi détestes-tu autant Olga ?
Cest parce quelle tient tant à lui que je veux les séparer. Quant à elle, je tiens à conserver ma réputation de meilleure baiseuse de notre ville qui était la mienne, avant quelle ne fasse son apparition. Approche, Olga. Dis-moi, quas-tu de plus précieux ?
Vous le savez très bien.
Je prononçais ces paroles en la fixant, dun air de défi. Je savais que je déclencherai sa colère.
Petite putain, je te soumettrai ! Il sera à moi, je te le prendrai parce que je veux te faire mal, tu entends, salope !
Je mabandonnais à ses gifles et à ses coups. Lintervention de Philippe mit fin à la correction. Je ne sais pas jusquoù elle était capable daller. Il me releva, essuya mes larmes, membrassa tendrement.
Chérie, ça va trop loin. Arrêtons ça ! Je la mets à la porte et on porte plainte à la police pour coups et blessures.
Non Philippe, cest très hard, mais cest une expérience de domination que jaccepte. Ça mexcite et je ressens le besoin dêtre punie pour mon comportement depuis des mois
Les yeux de Marie lançaient des éclairs de rage, mais Philippe était en quelque sorte exonéré. Je savais que cétait moi qui subirais, le moment venu, les représailles.
Rachid et Marie passèrent à table et, comme prévu, Philippe et moi nous fîmes le service. Marie se montrait particulièrement dure envers moi, ne perdant pas une occasion de mabaisser, de mhumilier et de minsulter. Quand elle parlait de moi, ce nétait pas Olga, mais « la chienne, la truie, la pute ». Quand jétais à portée, elle ne perdait pas une occasion de me faire mal, en me tordant un sein, en me griffant, en fouillant avec brutalité ma chatte ou mon anus, constatant avec satisfaction mon excitation.
Cest absolument incroyable, Rachid. Cette petite pute est trempée. Tu aimes, ça, petite salope ?
Oui, Madame, ça me plait beaucoup. Je mérite dêtre traitée sévèrement. Ca fait longtemps que je le sais.
Sur linsistance de Marie, je racontais alors comment mon père mavait battue, alors que je cherchais à pousser plus loin ma tentative de, puis au moment de ma rupture définitive avec mes parents, que jai racontée dans le second épisode de mes récits.
Vous pouvez faire de moi ce que vous voulez, Madame. Ça vous étonnera, mais je suis toujours profondément croyante et je suis convaincue que notre rencontre nest pas un hasard. Vous êtes là pour me punir de mes fautes, puisque je suis incapable de contrôler mes sens.
Philippe tenta à nouveau dintervenir.
Chérie, de quoi parles-tu ? Il nest pas question de fautes ! Cest moi qui tai encouragée et jadore te voir être toujours plus dépravée. Mais, je ten supplie, prends garde à cette femme. Elle na pas de limites !
Philippe me prit dans ses bras et membrassa amoureusement. Je sentais contre moi son désir. Oh certes, ce nétait pas le calibre de Rachid, mais, à ce moment-là, jaurais eu envie quil me prenne pour montrer aux deux autres que, quoique je fasse, jétais à Philippe et seulement à Philippe.
Cest incroyable quil continue à être fou damour pour cette garce !
Marie se leva, nous sépara brutalement, me faisant tomber, puis prit ma place dans les bras de Philippe. Elle lui offrit ses lèvres, il tourna la tête.
Prends garde ! Si tu ne veux pas de moi, cest elle qui paiera ! Cest ce que tu veux ?
Philippe ne dit rien, mais sa réponse fut de céder. Marie était une superbe femme, et elle savait comment obtenir la capitulation dun homme.
Oui, Olga, je vais te punir comme tu le mérites. Mais ma punition la plus terrible ne sera pas physique, car en plus tu aimes ça ! Elle sera morale. Non seulement je te ferai cocue, en faisant de ton mari et de ton mâle mes amants, mais je ferai tout pour te le prendre. Il est, as-tu dit, ce que tu as de plus précieux, et donc je le veux !
Ce que je voyais devant moi était une descente aux enfers. Je voyais devant moi Philippe qui nopposait plus aucune résistance, bien au contraire. Il répondait avec force au baiser de Marie. Celle-ci triomphait.
Je taime, Philippe et depuis longtemps. Je tai aperçu il y a déjà plusieurs années, tu étais alors avec Flavienne. Mais tu navais pas fait attention à moi, alors que je tavais dragué devant ta compagne de lépoque. Et quand jai appris que tu vivais avec celle-là et quen plus tu lavais mariée, jétais folle de rage. Aujourdhui, je tiens ma revanche. Allez, reconnais que je suis bien plus belle quelle. Touche ma poitrine ! Des seins lourds, fermes. Une poitrine de femme, rien à voir avec les ufs sur le plat de cette petite garce. Touche, oui, vas-y, jaime quand tu me touches !
Jétais à la fois fascinée, excitée et furieuse. Javais envie de sauter sur Marie, de les séparer, de me battre comme une tigresse, de lui dire, « ne le touche pas, il est à moi, tu entends ! »
Jétais paralysée, les larmes me montaient aux yeux et en même temps jétais excitée, comme malgré moi. Je constatais que Philippe bandait, comme je lavais rarement vu, sauf dans les débuts de notre relation. Il désirait cette femme. Il semblait quelle avait gagné.
Tu vois, petite catin, ton mari est en train de bander pour moi. Elle me plait sa queue. Il parait que tu te plains à qui veut lentendre que son calibre ne te fait rien, tu lhumilies en le comparant à la taille de lengin de Rachid et des autres hommes qui te niquent ou encore quil éjacule trop vite. Vois-tu, le plaisir ce nest pas seulement une question de taille. Tu nes quune égoïste qui ne pense quà son seul plaisir. Tu ne sais pas y faire. Je vais te montrer après le diner que ton homme est un excellent amant. Nous allons finir ce diner, mais laissez-moi dabord soulager mon chéri, je ne veux pas le laisser dans cet état.
Elle lui demande sil veut se faire sucer
Philippe ne réfléchit pas longtemps, pour toute réponse il lui appuie sur lépaule et présente sa bite toute tendue.
Cest la caresse que je préfère pratiquer avec Philippe et nous navons rarement commencé une journée sans que je moffre le plaisir de lui vider les couilles et davaler son nectar. Je la pratique sur lui aussi souvent que je le peux, que ce soit en voiture, au cinéma, sur un parking, au restaurant. Je ne men lasse pas et je nai jamais apprécié de voir une autre pratiquer cette caresse sur lui (le soir de notre mariage, la vision de Christine en train de lui tailler une pipe avait provoqué ma colère et mon adultère) Cest donc plus que je ne peux en supporter :
Non, pas ça, je ne le permets pas !
Rachid marrête et me maîtrise.
Tu seras punie pour ça ! Mais ça me plait de voir jalouse et crois-moi, tu nas pas finie de lêtre. Je te ferai pleurer des larmes de sang !
Marie fait tomber sa jupe et écarte sa culotte pour pouvoir atteindre sa chatte. Je vois les yeux de Marie souvrirent grands, sans perdre de temps elle saccroupit les jambes grandes ouvertes et happe la queue de Philippe qui, sous la caresse, gémit de plaisir. Elle le suce goulument tout en se branlant vivement. Je dois reconnaître que le spectacle est excitant au plus haut point. Philippe joue le jeu et se régale. Il fait des compliments sur la plastique de Marie et lui dit quelle suce super bien.
Elle lui lèche le gland, lentement, puis serre ses lèvres pour forcer sur son gland. Elle fait pénétrer bien au fond de sa bouche. Comme moi, Marie adore sucer, ça se voit que sa bouche est une bouche à pipes.
Le sexe de Philippe était dur. Ma rivale lui astique le manche pendant plusieurs minutes tout en le branlant et en lui caressant les couilles doucement. Par moment il lui prend la tête et pousse dessus pour que ça aille vraiment loin.
Dun seul coup il nen peut plus et jouit, envoyant plusieurs giclées dans la bouche de Marie, qui nen perd pas une goutte.
Elle se redresse, triomphante, puis se dirige vers moi, me prends dans ses bras, force mes lèvres, pour partager avec moi ce quelle na pas avalé. Je la remercie davoir partagé avec moi le nectar de mon mari.
Vous aimez le goût de son sperme, Madame ? Moi jen raffole !
Il sera bientôt seulement à moi, jai voulu partager un peu avec toi.
Notre baiser se prolonge, elle sent mon désir et me calme brutalement en griffant mon dos avec ses ongles.
Je te plais, on dirait, sale petite gouine. Je sais décidément ce que tu aimes et ce quil te faut !
Le diner reprend son court. Marie se montre très gentille, presque chatte avec Philippe, avec qui elle sort le grand jeu.
Elle lui demande de venir lembrasser. Philippe senhardit, ses mains passent dans le décolleté de Marie et il prend à pleines mains ses seins opulents.
Hum, chéri jadore quand tu me touches, surtout devant elle. Elle sait maintenant ce que cest que de se faire humilier, dêtre trompée en sa présence. Dis-moi, Philippe, tu as envie de moi ?
Oui, jai envie de toi. Tu me fais bander
Tu maimes ?
Jai envie de toi, mais cest Olga que jaime.
Tu augmentes encore ma haine contre cette chienne. Je ferai en sorte de te la faire oublier !
Peu après, Marie fit en sorte que je fasse tomber une assiette sur elle. Alors que je nétais pas responsable, elle se déchaina, me giflant violemment
Petite idiote ! Elle nest vraiment bonne à rien. Tout au plus à mettre sur le trottoir. Et encore !
Elle enleva son chemisier, qui était taché.
Demain pour repartir, je prendrai des vêtements à toi, demain matin. Pour cette nuit, pas de problème, je la passerai dans le lit conjugal avec mon homme. En attendant, cest incroyable ce que tu as fait. Même ma culotte est salie. Il est vrai quelle était trempée car ça ma excité à mort dhumilier cette petite garce et davoir sucé son mari en sa présence !
La conversation de Marie et de Rachid portait sur moi et Marie ne cachait pas ses intentions.
Elle veut que Philippe se rende compte que mon comportement sans limites ruine sa réputation. Elle invite Rachid à poursuivre ce quil a commencé et, ensemble, ils annoncent le programme des prochaines semaines. Elle suggère à Rachid dorganiser, avec Olivier et Serge, les collègues de Philippe, une partie fine et surtout de prévoir que ça se déroule sur son lieu de travail. Elle encourage Rachid à mamener régulièrement à la cité, pour moffrir à ses potes.
Nous avons commencé. Nous avons une grande cave où nous faisons nos tournantes. Quand je len ai parlé, les potes étaient enthousiastes. Jai fait circuler des photos delle à poil. Les volontaires sont nombreux. Ce sera chaque semaine, ce sera sans répit, crois-moi.
Tu as pensé à dautres choses ?
Il y a le foyer Sonacotra de la ville. Je veux faire delle un vide-couilles.
Cest parfait ! Et toi, Philippe, ça ne te gêne pas que ton épouse devienne une pute gratuite ?
Du moment quelle nest pas contrainte, jadore la voir prise. Elle est encore plus belle dans ces moments-là. Jai toujours rêvé de la voir baisée par des hommes qui se succéderaient sans répit pour lhonorer, jusquà ce quelle soit épuisée.
Javoue que je ne te comprends pas. Tu sais que Rachid a aussi lintention de la féconder. Ça aussi, tu lacceptes ?
Oui, ce sera pour moi une nouvelle preuve damour pour Olga.
Elle ta vraiment ensorcelé cette garce pour que tu dises cela ! En attendant cette soirée ma excité et, pendant que nous prenons le dessert, jai besoin dêtre soulagée. Olga passe sous la table et occupe-toi de ma chatte !
Je suis heureuse car, malgré, ou à cause de son comportement, bien quelle veuille marracher mon cur en cherchant à me prendre Philippe, jai follement envie de Marie. Jai très envie de la lécher et de la faire jouir. Je suis sous la table et je place mes mains sur les jolies courbes fessières de Marie, de façon à exercer une pression suffisante pour la ramener vers moi. Elle avance ses genoux de manière à positionner son intimité au niveau de mon visage.
Jai une jolie vue sur son minou : son petit rectangle de poils, son clitoris déjà gonflé et ses lèvres vaginales déjà humides. Jutilise mes mains pour la toucher et frotter son clitoris entre mon index et mon pouce, ce qui la fait gémir. Jintroduis délicatement un doigt dans son vagin et le ressort mouillé. Je le regarde quelques secondes puis décide de le porter à ma bouche pour goûter son jus intime. Hum, cest bon et jai envie den goûter plus.
Jutilise donc mes doigts pour lui écarter ses lèvres et je redresse suffisamment ma tête pour pouvoir toucher sa vulve avec ma langue. Je commence par donner des grands coups de langue de haut en bas et de bas en haut, puis jalterne en secouant ma tête de gauche à droite. Sa chatte est désormais bien humide, certes par leffet de ma salive, mais au goût que je perçois sur mes papilles, également par sa cyprine.
Marie ferme les yeux et est en train de se caresser ses seins avec les mains. Philippe et Rachid observent, fascinés, la montée du plaisir sur son visage.
Je décide de plonger dans son sexe et jessaye dintroduire ma langue le plus loin possible dans son vagin. Jai le nez quasiment sur son clitoris et je respire les odeurs de ses effluves intimes.
Je sens que Marie est en train de trembler : elle va bientôt jouir. Je cesse de jouer avec ma langue et pose mes lèvres sur son clitoris. Je commence à le mordiller très doucement pour ne pas lui faire mal puis à aspirer son bouton aussi fort que possible. Marie place sa main derrière ma tête et me tire vers elle pour que je continue jusquau bout. Précaution inutile car je nai pas du tout lintention de retirer ma bouche avant quelle nait joui.
Ouuuuuuiiiiiiiii, cest booooon, ne tarrête pas !!
Je suis obéissante et je me plie à son ordre. Je sens du liquide sécouler de mon sexe : son orgasme a déclenché le mien. Mon corps sest tendu et je sens une sensation de chaleur partir de ma chatte pour se diffuser avec bien-être dans le reste de mon corps. Marie, haletante me dit :
La vache, tu es douée, je viens de vivre un des plus bels orgasmes de ma vie ! Mais nimagine pas que ça change mes sentiments envers toi ni mes projets en ce qui concerne Philippe.
Le repas étant terminé, Marie nous fit signe à tous daller dans la chambre.
Marie sort un gros vibromasseur et me fait signe dapprocher.
Toi dabord, tu as droit de jouir car ensuite ce sera très dur pour toi, quand tu assisteras, impuissante à ma nuit damour avec ton mari. Viens Olga, jai envie dutiliser ça sur toi.
Comment voulez-vous que je me mette ?
Installe-toi en travers du lit, le bassin vers le bord.
Je mexécute et écarte les jambes lorsque Marie se place à genoux par terre. Elle commence à jouer avec ma chatte dune main et à porter le vibromasseur à sa bouche avec son autre main. Elle entreprend un début de fellation sur le sextoy pour le lubrifier. Quelques instants plus tard, elle juge que cest bon et fait coulisser le vibromasseur le long de mon clitoris puis de mes lèvres intimes.
Elle appuie sur le bouton à la base et le sextoy commence à gagner son nom en se mettant à vibrer.
Après quelques minutes de ce traitement, jai à nouveau le sexe humide. Je nai quune envie, cest que Marie me linsère dedans. Au lieu de quoi, celle-ci éteint le vibromasseur et me dit quelle me le mettra quà la condition quon fasse un 69.
Cest du chantage mais un chantage qui me convient. Tout plutôt que cette quest le fait de mexciter et de me laisser en plan. En plus, ça me fait plaisir de pouvoir faire un nouveau cunnilingus à Marie. Je me replace correctement sur le lit, sur le dos, et jattends que Marie vienne se placer sur moi. Pourtant, la position na pas lair de lui convenir, et elle me fait basculer sur le côté.
Satisfaite, elle se place de la même façon mais en sens inverse. Ma tête est au niveau de son entrejambe et réciproquement, de telle sorte que nous formons effectivement un 69.
Jai perdu un peu de mon excitation le temps quon se positionne mais je la retrouve vite lorsque Marie introduit le vibromasseur, éteint, dans mon vagin et commence à me sucer mon bouton damour.
Position oblige, je lui rends la faveur et recommence à la lécher. Cest génial, le fait de devoir moccuper delle alors quelle soccupe de moi mempêche de jouir tout de suite et fait durer le plaisir plus longtemps. Notre 69 sachève sur mon orgasme, lorsque Marie a enfin décidé de déclencher les vibrations du sextoy.
Oh oui, Marie, cest bon, vous pouvez faire de moi, de mes hommes ce que vous voulez ! Ouiiiii
Je te ferai jouir et linstant daprès souffrir. Jai compris que cest ce que tu cherchais, petite putain !
Marie na pas joui mais avec sa jouissance de tout à lheure, je doute quelle aurait pu recommencer aussi tôt. Marie ressort le vibromasseur de mon sexe et, après avoir donné un petit coup de langue dessus, le porte à ma bouche pour que je le nettoie. Mes lèvres forment un O, et jaccepte cet intrus dans ma bouche. Je le suce comme sil sagissait du sexe dun homme et goûte ma propre cyprine.
Marie nen a pas encore fini avec moi.
Elle se met en position pour commencer à mettre dans lentrée de mon con deux, puis trois doigts et enfin le début de la main. Je donne un grand coup de rein en poussant un hurlement quand la main entière est dans mon vagin. Elle lenfonce complètement. Elle me fiste, ce que me fait régulièrement Philippe. La différence est quelle est brutale et va beaucoup plus loin et plus fort que Philippe, attentif seulement à mon plaisir, alors que Marie veut seulement me dominer et me faire mal.
Je suis pourtant dans un autre monde de volupté. Je murmure des mots sans suite coupés de gémissements. Marie continue avec sa main entièrement dans mon sexe. Elle me fiste jusquau moment où je semble perdre conscience. Elle enlève la main pleine de cyprine. Elle la lèche comme si elle avait mis la main dans un plat unique, tout y passe, tous les doigts, le dessus et la paume, jusquau début du poignet.
Je reste un moment pantelante, comme si un régiment métait passé dessus.
Jai encore une surprise pour toi. Philippe, regarde bien, ton épouse est une véritable truie. Olga, ouvre ta bouche et approche de ma chatte !
Non, sil vous plait, pas ça ! Cest sale, je ne veux pas.
Elle me gifle à nouveau :
Obéis, ouvre la bouche, je vais me soulager et les hommes le feront ensuite.
Marie écarte les lèvres de sa belle chatte, et un jet violent fuse dans ma gorge. Je suis surprise, jai la bouche remplie de pisse. Malgré ma nausée, javale.
Décidemment, rien ne larrête ! Les hommes, approchez et soulagez-vous !
C'est au tour de Rachid. Nos ébats lesbiens lont beaucoup excité, il commence par envoyer sur mes seins, mes cheveux, mon visage, de puissantes giclées de sperme, puis urine dans ma bouche.
C'est maintenant au tour de Philippe, mais il est hésitant, il a des scrupules que l'on se serve de moi comme d'un urinoir. Je suis à ses genoux, bouche ouverte, et Marie l'encourage à se laisser aller.
Il s'abandonne, presque malgré lui. Ce petit jeu semble lui plaire. Il m'offre un long jet bien fourni, vrillé et doré. Jamais je naurais imaginé accepter ça et y trouver du plaisir.
Marie me fit ensuite changer les draps.
Bon, maintenant je me suis assez occupée delle. Rachid, avant que, comme convenu, tu nous laisses tous les trois, tu vas lattacher au fauteuil, pour que tu ne puisses pas bouger et les mains dans le dos, pour que tu ne puisses pas te caresser. Serre bien les cordes, quelle ne puisse pas bouger et que ça lui fasse mal. Je veux seulement que tu assistes, impuissante, à ton cocufiage. A la fin de cette nuit, ton mari sera définitivement à moi.
Rachid me lia les mains derrière le dos, puis mattacha au fauteuil. Les cordes étaient en effet serrées et me faisaient mal.
Pendant des heures, jai assisté, impuissante, aux ébats de Marie et de Philippe. Jassistais à ladultère de mon mari. Marie avait deviné que ce serait pour moi une épreuve. Cest la pire des s quelel pouvait minfliger. Ça peut surprendre et choquer, moi, qui, depuis que je suis mariée avec Philippe, me suis offerte à tant dhommes, mais je nacceptais pas la réciprocité.
Jétais partagée entre la colère, sinon la rage, car jétais folle de jalousie. Pourtant, peu à peu, ce que je voyais provoquait chez moi un émoi, puis une excitation croissante. Je devais avouer que cétait beau, et que jétais particulièrement excitée de voir mon mari prendre du plaisir à faire jouir une autre femme.
Cétait une autre Marie que je voyais. Ce nétait pas la dominatrice, la sadique qui me faisait souffrir et me voulait tant de mal. Cétait une femme amoureuse, qui parvenait à ce quelle voulait depuis des années. Je me rendais compte aussi que, malgré mon amour pour Philippe, je navais pas su découvrir lamant quil pouvait être. Je métais arrêtée à la taille moindre de sa verge, comparée en particulier aux mâles comme Rachid qui comblaient la vaginale que je suis. Je métais montrée égoïste, pensant à mon seul plaisir. Je navais pas su non plus faire ce quil fallait face aux tendances à léjaculation précoce de Philippe.
Marie, elle, à ce moment-là, ne pensait quau plaisir de lhomme quelle voulait et quelle aimait. A ma décharge, les précédentes compagnes de Philippe, Flavienne et Patricia navaient pas non plus su découvrir quel amant Philippe pouvait être.
Marie prenait tout son temps, faisant durer les préalables. Elle masturbait doucement Philippe, le prenait en bouche, mais devinait quand il était sur le point déjaculer. Elle savait alors sarrêter, le rassurer, avant de reprendre le cours de leurs ébats.
Ce que je voyais devant moi, cétait un couple qui faisait lamour, avec tendresse et progressivement, alors que moi, du fait de mon hypersexualité, je baisais, javais besoin denchainer les orgasmes et les coïts. Marie et Philipe, pendant un moment qui me sembla interminable, échangèrent baisers et caresses. Cest Marie qui était à linitiative.
Philippe reprit les choses en mains en se mettant entre les cuisses de sa maîtresse et il lui pratiqua un long cunnilingus, quelle encourageait par ses gémissements et des paroles damour. Marie eut son premier orgasme. Comme moi, elle était multi-orgasmique.
Philipe ne lui laissa pas de répit. Il voulait à son tour dominer cette dominatrice.
Il lui introduit quatre doigts qui, lubrifiés par sa mouille abondante nont aucun mal à pénétrer son vagin distendu, les yeux fermés elle attend. Il tourne pour louvrir encore plus. Philippe allonge son pouce à lintérieur de sa main, et pousse en vrille. Arrivé à larticulation du pouce ça bloque, les lèvres nont plus de formes, sa chatte devient un grand trou difforme, millimètre par millimètres il avance en tournant. Elle pousse un cri strident en même temps que ses lèvres se referment sur son poignet, son petit abricot a avalé la main !! Ça y est, elle est fistée !!
Il commence à bouger ses doigts, les retourne doucement vers lintérieur, pile-poil sur son point G quil se met à gratter. Je sais par expérience ce que Marie peut ressentir. Philippe est un fisteur exceptionnel.
Haaa ouii, cest bon
on dirait que jai une bite de cheval dans la chatte
remue encore
Lentement son poignet tourne alternativement, puis là pistonne
.cest impressionnant. Marie se soulève sur ses coudes pour regarder ce qui ce passe entre ses cuisses.
Le jus de sa chatte coule le long du poignet de Philippe.
Oh, oui, Vas-y plus fort
baise moi avec ton bras
.je veux jouir comme çà
.
Je nen peux plus, jinterviens, pour encourager Philippe.
Oui, chéri, mets lui ton bras le plus profond possible, je veux entendre cette salope hurler de plaisir et de douleur !
Comment oses-tu parler de moi ainsi, tu le paieras !
En ce moment tu nes pas Maitre Marie C, tu es une femelle qui se fait prendre par un mâle. Fais-la couiner, chéri. Jaime ça. Ah, si je pouvais branler mon clito, ma chatte est béante et trempée !
Les yeux de Marie se ferment à nouveau pour mieux ressentir ce que Philippe lui inflige, le vagin est maintenant bien ouvert, comme lors dun accouchement, il arrive à sortir son poing et à le rentrer sans douleurs, le pouvoir du vagin à se distendre est surprenant.
Marie remonte ses genoux sur ses seins pour soffrir au maximum, une position on ne peut plus impudique !! Çà lui coule entre les fesses, jusquau moment où Philippe retire un peu son poing, il prend une giclée de liquide en pleine figure
ce nest pas de lurine, un gout légèrement acre, la femme hurle à nouveau son bonheur.
Son vagin est rouge, le sang affleure la peau, stigmatisant la jouissance
Philippe a peur quelle ne tombe dans les pommes, alors il ralentit, puis doucement dans un bruit de ventouse se retire, la moule se vide, le lit est trempé, une flaque impressionnante !!
Marie revient sur terre lentement, elle a les yeux cernés
Elle embrasse Philippe à pleine bouche
.
Merci mon chéri
Tu vas continuer à toccuper de mon petit cul
..Mais il nous faut attendre que ma chatte se referme car jai envie que tu me prennes et tu te vides en moi.
Marie prend tout son temps avant ce coït quelle a tant attendu. Il faut en effet que son vagin se referme pour quelle puisse être prise par lhomme.
Quand elle juge le moment venu, elle vient sur Philippe et, après lavoir longuement embrassé, vient sempaler sur sa verge. Elle choisit la position dAndromaque pour contrôler au mieux le coït et éviter léjaculation précoce.
Marie prend le contrôle de la relation sexuelle. Elle est assise à califourchon sur Philippe de façon à le faire pénétrer en elle. Elle effectue les mouvements de va-et-vient puis d'avant en arrière selon ses désirs et ses sensations. Elle prend le temps de demander à Philippe si les mouvements qu'elle effectue lui sont tout aussi agréables à lui qu'à elle.
Philippe en profite pour caresser les seins et le clitoris de sa partenaire afin de lui donner encore plus de plaisir. Je vois combien Philippe est fasciné par la forte poitrine de ma rivale.
Tu vois, Olga, le plaisir quil a et quil me donne. Désormais, il nest plus à toi, il est à moi !
Marie contractait son vagin et faisait des mouvements de bas en haut à une vitesse folle. Sans lui laisser un seul instant de répit, elle recommençait. Ils finirent par exploser tous les deux dans un orgasme dévastateur qui nous fit nous écrouler épuisés et comblés.
Un peu plus tard, Philippe vint me délivrer de mes liens, me donna un baiser, mais alla rejoindre sa maîtresse pour passer la nuit avec elle. Je restais dans mon fauteuil, avec une couverture et, malgré la masturbation pour tenter de calmer enfin mon excitation, je ne parvenais pas à trouver le sommeil, désespérée parce que jétais convaincue davoir perdu Philippe.
Pourtant le lendemain, il vint me retrouver, me demandant pourquoi javais passé la nuit dans ce fauteuil et pas dans un lit. Je meffondrai dans ses bras et lui disait, le visage inondée de larmes, combien je laimais.
A ce moment-là, Marie se réveilla et demanda à Philippe ce quil faisait dans mes bras.
Cest très simple, Marie, nous avons fait lamour, et cétait merveilleux. Mais cest Olga que jaime, pas toi.
Marie me jeta un regard glaçant, quitta le lit, et après récupéré quelques habits dans mon placard, sen alla en claquant la porte.
Oh Philippe, jai cru te perdre !
Jamais, chérie, tu es folle ! Mais il faut absolument cesser les relations avec cette femme. Jai peur du mal quelle peut te faire. Surtout après ce qui sest passé.
Il avait raison. Mais je nétais pas encore prête à lécouter.
(à suivre)
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